Maintenant guettons les medias pour voir s'ils vont faire un correctif ou quelle crasse ils vont encore inventer 
Posté le 17 février

Le photographe Michelangelo Di Battista et le directeur artistique Giovanni Bianco ont été en charge de la campagne Pinko avec Carey.  Les images montrent Carey dans des poses sensuelles, portant des vêtements de signature urbaine Pinko.

J'étais une des rares membres des media et amateurs de mode à recevoir une invitation à la cocktail party de Pinko pour célébrer la nouvelle campagne et leur magasin fraîchement rénové sur Brompton Road.  Le magasin était bien éclairé et il y avait des paparazzi et des policiers entourant l'endroit, sans mentionner les nombreux fans attendant dehors dans le froid, pour entrevoir leur idole.  A l'intérieur du magasin, c'était une autre histoire, c'était rempli de gens glamour sirotant les verres de champagne rose et cocktails à volonté, et des serveurs présentant des canapés.  Le temps passant, de plus en plus de célébrités arrivaient incluant Kimberley Stewart, Calum Best, Duncan du groupe Blue, Ronan et Yvonne Keating, Benny Medina (manager de Mariah) et JC Chasez (du groupe 'N Sync).

Soudainement, les appareils photos à l'extérieur se déclenchèrent à la folie et j'aperçus brièvement Naomi Campbell (modèle précédent pour Pinko) posant à l'extérieur avec sa nouvelle coiffure.  Peu de temps après, Mariah Carey elle-même la rejoignit paraissant à l'aise mais parlant peu.  Elles entrèrent dans le magasin Pinko ensemble et les paparazzi prirent des photos d'elles.  Naomi est allée se promener dans le magasin pendant que Mariah était emmenée à l'étage.
L'endroit était comble et tout le monde voulait parler à Mariah.  redescendre les escaliers fut une sacrée mission, et Benny Medina parut légèrement frustré et dit: "Pourquoi les gens ne peuvent-ils pas penser à attendre et ne pas descendre les escaliers comme tout le monde", et puis il commença à danser sur une chanson de Mariah.

Après seulement une dizaine de minutes, Mariah et son entourage se dirigèrent vers la porte. Je fus présentée à Mariah par Michael Richardson et elle dédicaça mon invitation (Dieu la bénisse) ce qui prouve qu'elle ne refuse jamais de signer des autographes quel que soit l'agitation autour d'elle.  Michael me laissa savoir où ils allaient dîner, donc je me rendis là-bas.  Des paparazzi attendaient déjà devant San Lorenzo's sur Beauchamp Place pour prendre quelques photos de plus après le dîner.  Le restaurant était très intime et Mariah et son entourage avaient leur table à l'étage avec des bougies éclairant la pièce.  Benny Medina, Michael Richardson, Connie Filippello, Mark Sudack et Mariah étaient tous réunis et semblaient passer un très bon moment.  Je leur ai dit aurevoir et suis rentrée chez moi et eux retournèrent au Claridge's.  J'ai finallement rencontré Mariah Carey, ma chanteuse préférée et probablement la personne la plus talentueuse que je rencontreai jamais.
Source en anglais: 360 X
Posté le 16 février

Comment accentues-tu tes meilleurs atouts?
Je ne suis pas sûre d'avoir des meilleurs atouts.  Il y avait des choses que je haïssais chez moi.  Mais j'ai toujours cru en ma voix et ma capacité d'écrire de la musique.  Au départ, on m'a offert 5.000 dollars pour mes droits d'auteur et pour moi c'était une fortune, mais je connaissais assez sur le business et mon talent pour le refuser.  J'aurais fini par n'avoir rien du tout.

Ton look le plus horrible?
A l'âge de 12 ans j'ai teint mes cheveux en orange par erreur et j'ai rasé mes sourcils.  Il y a de quoi être complexée avec ce genre de choses.

Quelle est la pression de l'industrie pour que tout le monde se ressemble?
L'industrie ne sait pas vraiment ce qu'elle veut, jusqu'à ce qu'elle voie quelque chose qui a du succès et puis ils essaient de copier.  Au début de ma carrière, je ne voyais pas cela comme un style; c'était à propos de talent.  Ma mère était chanteuse d'opéra et j'ai eu le privilège de chanter avec Pavarotti.  Je traîne avec beaucoup de musiciens et chanteurs qui ne sont pas "taille 0", donc l'image de mon corps ne fait pas partie de ce monde-là.

Qu'en était-il de toute cette image trop sexy?
Les gens disent toujours que j'étais trop sexy (limite vulgaire), comment puis-je être vulgaire?  J'ai éternellement 12 ans.  Le photographe David LaChapelle dit que je ressemble à Mary Poppins.  Au départ je ne portais pas de vêtements très osés, je voulais que les gens se concentrent sur ma voix.  Je recevais les conseils de personnes loin dans la quarantaine qui me disaient ce qui était bien ou non, parce qu'ils voulaient que je soie une image de la parfaite américaine, ce que je ne suis pas, j'ai dû vraiment pousser le bouchon pour pouvoir porter des choses plus révélatrices.  C'était probablement un genre de rebellion, je me suis mariée jeune et mon mari était très pointilleux à propos de mon look.  Je ne pouvais même pas choisir ma coiffure parce que c'est lui qui la voulait d'une certaine façon.  Je n'arrive pas à croire que j'étais mariée, quand on a divorcé j'ai vraiment voulu m'amuser, me distraire.

Regrettes-tu certaines tenues? 
Beaucoup, beaucoup trop.  Mais si je dis lesquelles, tu vas exagérer ok? 

Un rendez-vous galant: qu'est-ce que tu portes?
Je ne me suis pas rendue à beaucoup de rendez-vous, crois-le ou non.  Mais je porterais n'importe quoi du moment que c'est sexy, cela ne veut pas dire que je vais au lit avec cette personne.

Prendre soin de soi?
Absolument, tout à propos de moi est sujet à prendre soin, à commencer par la voix, sur laquelle je veille comme sur un enfant. J'emporte un humidificateur partout où je vais et je dors dans une chambre humidifiée pour la protéger.
Puis, il y a le corps, et mon entraîneur qui a la taille de mon petit doigt, comprend parfaitement mon corps. Je suis de type musclée, donc si je porte une robe non-appropriée, les gens croient toujours que j'ai pris du poids. En fait, j'ai arrêté de me peser.  J'ai des hauts et des bas et je ne serai jamais une taille 0.  J'aime mes formes.  Mais je ne vais pas mentir, s'il y a un modèle taille 2 et que je rentre dedans, je me sens bien, je ne fais pas assez d'exercices.
Je ne fais pas de masques car j'ai de la rosacée, mais j'ai mes remèdes pour ça, je fais des petits paquets de lait et de glace pour la soigner.  J'ai fait 500 heures d'école d'esthétique, je peux me maquiller et me coiffer moi-même. Mes cheveux demandent beaucoup de travail, ils sont vraiment très bouclés et cela peut prendre des heures.

Créateurs favoris?
Ca c'est difficile, c'est plutôt à propos de créations favorites. Aujourd'hui, j'ai un poncho camel de Gucci et des bottes Alexandre McQueen et ces deux bagues de Van Cleef et Arpels.  Le poncho seul, c'est un peu bizarre, mais j'avais renversé quelque chose sur moi et j'ai dû enlever la blouse que je portais.

Y a-t'il quelque chose que tu ne voudrais pas porter?
Des chaussures plates, elle me donne des ampoules. Ma babysitter riait toujours de moi car quand j'avais 12 ans, je marchais toujours sur la pointe des pieds.  je ne savais pas marcher à plat. 

Envisagerais-tu une chirurgie cosmétique?
J'espère que quand j'arriverai à ce stade, il y aura de la crème, car le Botox, on ne sait toujours pas très bien ce qu'il y a dedans et les effets secondaires.  J'ai de la chance, car à cause de mes origines métisses, je crois que je pourrais  vivre avec les rides.. 

Es-tu pour vieillir avec grâce ou de façon disgracieuse?
C'est quoi de façon disgracieuse?  Je crois que vieillir est déjà horrible en soi. 

Suis-tu les modes et tendances?
Pas vraiment, parce que je lis très peu les magazines, vous voyez toutes ces photos de vous-même avec des critiques.  Mes amis me découpent les trucs chouettes. La presse m'a fait passer par pas mal de choses, mais à ce moment-ci de ma carrière, soyons honnêtes, ça n'a vraiment pas d'importance.
Source en anglais: Times Online 
Posté le 16 février

15 février, 2007
11.30 - 11.45: Mariah quittera l'hôtel pour aller au Pinko UK (le magasin)
12.00: Conférence de presse et séance photos au magasin Pinko
12.30 - 12.45: Mariah quittera le magasin.
13.00 - 1.30: Retour à l'hôtel.
19.30 - 19.45: Départ de l'hôtel vers le magasin "Pinko" et cocktail party.
20.00: Arrivée au magasin.
20:30 à 21:00: Mariah quitte la party, ira se restaurer et repart vers les Etats-Unis 
Posté le 12 février

D'autre part, Rasmi (journaliste musical) m'a laissé savoir que des coktails sont prévus au magasin Pinko fraîchement rénové entre 20 et 22 heures, beaucoup de célébrités y sont attendues.

Posté le 12 février

Pietro Negra, le créateur et président de Pinko a déclaré que la société avait cherché pour "non seulement une superbe femme mais aussi une artiste musicale, car
la musique est le plus grand moyen de communication".

Les Top modèles ayant aussi été l'image de Pinko incluent Elle Macpherson, Eva Herzigova and Naomi Campbell
Source en anglais: Just Style
Heroes note: Ceci pourrait peut-être expliquer la rumeur d'une visite de Mariah en Angleterre car le London Fashion Week a lieu du 12 au 15 février.
Posté le 9 février

Q1
Playboy: Dans la chanson "Get Your Number" de ton album "The Emancipation of Mimi", tu parles à propos de rencontrer un garçon dans un club et de l'emmener chez toi.  Est-ce que c'est quelque chose que tu ferais?
Carey: Non.  Voilà le problème avec moi-- enfin, l'un de mes problèmes (rires). Je peux adopter une attitude de flirt quand cela n'est pas nécessaire.  Imaginons, on est dans un club, moi et quelques amis, et on est avec des garçons. Si je suis assise là et qu'une chanson que j'aime est diffusée, parce que je suis chanteuse, je commence à bouger.  C'est uniquement ce que je fais, je ne réalise pas que je fais un genre de clip vidéo devant quelqu'un, cela se termine par une attitude qu'on pourrait qualifier de flirt et les gens pourraient se méprendre. Mais je ne veux pas décevoir des gens, donc on ferait peut-être mieux de ne pas parler de ça.

Q2
Playboy: Mais dans la chanson "Say Somethin'" tu chantes ""I'm over here looking at you/You're over there watching me too/Both painting pictures of how we'll kiss and f***." Cela ne sonne pas très prude.
Carey: Je n'ai pas dit ça! Il y a un f et quelques lettres (rires). Et c'était l'idée du producteur Pharrell. Il veut toujours choquer tout le monde.  Je lui ai dit " D'accord Pharrell, si ça te fait plaisir".  C'était un de ces petits moments sexys.

Q3
Playboy: L'an dernier tu as eu un affrontement avec Eminem après qu'il ait dit que vous avez eu une liaison.  Ensuite, il a été reporté qu'il t'a envoyé une lettre d'excuses, qu'est-ce qu'il disait?
Carey: Il y a vraiment quelque chose qui ne tourne pas rond chez lui, et je ne sais pas très bien ce que c'est. Je viens d'entendre quelque chose qu'il a dit récemment à propos de moi.  Je me demande vraiment pourquoi il est obsédé à propos de moi.  Je n'ai jamais reçu de lettre d'excuses, mais bon je ne regardais pas spécialement ma boîte aux lettres pour y trouver sa lettre.

Q4
Playboy: Ta mère est Américaine d'origine Irlandaise et ton père était Afro-Américain d'origine Vénézuelienne.  Quand as-tu réalisé qu'être mixte te rendait différente?
Carey: Quand j'étais au jardin d'enfants. On devait dessiner notre famille. Les gardiennes d'enfants étaient très jeunes, je ne crois pas qu'elles ont voulu me blesser, mais regardant par-dessus mon épaule, elles se sont mises à glousser parce que je dessinais ma famille telle que je la voyais.  Ma mère était couleur pêche, mon frère, ma soeur et moi on était quelque part au milieu et mon père était brun.  Elles m'ont dit: "Tu as fait une faute Mariah", j'ai dit " Non, c'est mon papa, c'est comme ça qu'il est".  Elle ne m'ont pas crue, c'était comme si j'avais pris un crayon vert et que je l'avais fait vert.  Soudainement elles ont cessé de rire parce que j'étais confuse et bouleversée.  Elles ont cessé de rire pour aller chuchoter dans un coin.  Elles ne m'ont jamais plus regardée de la même manière.

Q5
Playboy: Dans "I Wish You Knew" tu chantes à propos d'avoir un complexe d'infériorité.  Qu'est-ce qui te rend timide?
Carey: Je crois que j'ai un complexe d'infériorité pour avoir grandi comme mixte et de sentir comme si je n'avais pas ma place. Je ne me sentais pas jolie quand j'étais petite.  Le monde du spectacle est une extension du lycée, donc je suis toujours le clown de ma classe. Peut-être que je compense par une forte personnalité.  Maintenant, je suis généralement assez turbulante.

Q6
Playboy: Quel âge avais-tu quand tu as commencé à chanter?
Carey: J'avais quatre ans. Ma mère chantait à l'Opéra de New York, elle a fait ses débuts au Lincoln Center et est allée à Juillard.  Je pense qu'au moment de ma naissance, elle ne chantait pas professionnellement, mais elle continuait à s'entraîner ici et là.  Elle raconte l'histoire de quand elle chantait l'opéra Rigoletto, et à un certain moment je l'ai corrigée parce qu'elle avait fait une erreur.  C'est à ce moment là qu'elle a réalisé que j'avais une oreille musicale.

Q7
Playboy: A quel moment as-tu su que tu voulais faire carrière dans la chanson?
Carey: Du moment que j'ai su que l'on pouvait avoir une carrière, je savais que c'était ce que je voulais faire.  Je voulais être soit chanteuse, soit génie (rires).  Quand j'ai réalisé qu'être un génie n'était pas une option, j'ai choisi de chanter.

Q8
Playboy: Comment as-tu commencé ta carrière dans la musique?
Carey: Quand j'étais petite, j'ai auditionné pour "Annie", je voulais être dans "Annie" parce que c'était un grand show à Broadway.  J'étais trop grande, mais je pense plutôt que j'étais aussi trop ethnique (rires).  J'ai auditionné avec une perruque noire.  Même la couleur de la perruque n'était pas juste, ce qui est bizarre parce que ma grand-mère paternelle avait un penchant pour les perruques rousses.  J'aurais probablement pu emprunter une des siennes, mais personne n'y a pensé.

Q9
Playboy: Si American Idol avait existé quand tu étais jeune, aurais-tu auditionné?
Carey: Tu te souviens de Star Search?  Ca, ça existait et je n'ai pas auditionné pour. Je n'ai pas pensé que c'était pour moi.  Je sais que tout le monde pense que je suis un modèle pour American Idol, mais j'étais vraiment timide quand j'ai débuté.  Ma mère n'était pas une fervente des scènes, elle était plutôt hippie.

Q10
Playboy: Randy Jackson d'American Idol a été ton directeur musical pendant plusieurs années.  As-tu jamais imaginé qu'il deviendrait une star?
Carey: Randy Jackson -- et bien, maintenant qu'on doit l'appeler Randy Jackson d'American Idol -- a travaillé avec moi depuis mon premier album.  Je le connais depuis si longtemps et maintenant il est cette grande star.  Pour moi, c'est bizarre, on est assailli quand on marche dans la rue.  Vous savez comment les musiciens sont présentés lors d'un concert?  Ma petite blague était qu'il était le frère de Michael Jackson et la foule me croyait et devenait dingue.
 

Q11
Playboy: Tu as de nonbreux changements de tenues pendant ton concert.  As-tu jamais eu un incident?
Carey: Tu rigoles, il y en a eu tant (rires).  Pendant cette tournée il y a eu vraiment un gros incident quand mon top s'est sousainement ouvert.  C'était un cauchemar, le top était si serrant ce soir-là parce que nous les filles avons des moments où les tops deviennent plus serrants, mais je l'ai attrapé et c'est à ça que tu reconnais un professionnel.  Je devais continuer à chanter en même temps, donc j'avais le micro dans une main et de l'autre, je tenais mon top fermé et je continuais à chanter les mots, "Stop the track! Stop the track! Stop it!".  Ils n'ont pas compris et j'ai du aller en coulisses et revenir vêtue d'une superbe robe et dire au public, "Guys, I'm sorry, but we would have had a major malfunction, and I'm not going to be the one responsible for that happening." ( "Les gars, je suis désolée, mais j'ai eu un grave incident et je ne veux pas être responsable pour ce qui aurait pu arriver").

Q12
Playboy: Qu'aurions-nous pu entendre sur la démo qui aida à te faire signer?
Carey: Je pense que c'était très bon, en fait j'ai toujours voulu travailler, j'enregistrais et j'écrivais toute la nuit et puis j'allais à l'école.  J'étais seule, j'étais au lycée et j'allais à la ville et j'essayais de revenir à la maison en voiture et je me perdais à chaque fois. J'arrivais dans le Bronx ou quelque part dans le Queens, ne sachant pas du tout où j'allais, je n'ai aucun sens de l'orientation.

Q13
Playboy: Tu étais choriste pour la chanteuse Brenda K. Starr quand elle a donné ta démo à Tommy Mottola de Sony Music Entertainment, comment cela s'est-il passé?
Carey: J'étais assez fauchée, je travaillais pour Brenda mais c'était un coup oui, un coup non.  En hiver quand je n'avais pas de manteau, elle et sa mère m'ont apporté un manteau d'hiver et un peu de nourriture, elles avaient pitié de moi.  J'étais cette fille qui chantait et écrivait ses chansons, à un certain moment Brenda m'a demandé si je voulais qu'elle enrégistre quelques-unes de mes chansons de ma démo, mais j'ai dit "Non, je vais enrégistrer ces chansons", j'ai toujours cru que j'allais faire ça. Je n'ai jamais eu un manque de foi, de détermination ou de confiance en moi.  Quand Tommy Mottola m'a vue pour la première fois, il a demandé "Qui est-ce?" et Brenda lui a dit que j'étais une choriste et son amie et lui a donné ma cassette.  Je n'oublierai jamais ce moment, c'était l'un de ces moments qui sont écrits dans votre destin.

Q14
Playboy: Mottola t'a signé chez Sony et puis vous vous êtes marriés mais avez divorcés après quatre ans, ce qui a mené à des difficultés avec le label.  Que s'est-il passé?
Carey: Regardons les choses en face, quand la relation professionnelle s'est transformée en une relation personnelle, tout est devenu un vrai fouttoir.  Quand on s'est rencontrés, je ne savais pas qu'il était marrié, je ne savais pas qu'il avait des enfants, je ne connaissais pas le folklore à son sujet.  Des gens me racontaient des choses et puis disaient "oups! Tu ne savais pas ça?" c'était bizarre.  Lorsque je suis devenue une célébrité, Tommy a décidé qu'on allait vivre plus reclus, d'une certaine façon ça m'a protégé, mais ensuite c'est devenu une trop grande protection.  Je crois que parce que j'ai grandi dans un environnement assez instable, j'ai supporté ce que la plupart des gens n'auraient pas supporté. Mon niveau de tolérance envers les disfonctionnements était élevé.  Je référencie la maison qu'on partageait en tant que Sing Sing parce que tout ce que j'y faisais était chanter, chanter, chanter.  Ce n'était pas à proprement parler le bagne (rires), mais je pense que notre relation aurait pu durer, car je suis loyale. J'aurais pu rester dans cette relation si cela avait été un peu moins confiné.  Même si j'étais malheureuse dans ma vie personnelle, je vivais par substitution au travers de cette fille à la télé portant des Pumas, un short en jeans et une chemise en flannelle.

Q15
Playboy: Où est ton alliance maintenant?
Carey: Elle est miraculeusement devenue des boucles d'oreilles.  Puis je les ai perdues, je les ai perdues à Amsterdam, ni plus ni moins.

Q16
Playboy: En 2001, il a été reporté que tu as souffert d'une dépression nerveuse, que s'est-il passé exactement?
Carey: Ce qui s'est passé c'est que les gens ont fait toute une histoire du moment où mon ancienne publiciste m'a arraché le micro des mains parce que je me défoulais sur Howard Stern.  Howard Stern avait dit un tas de trucs méchants sur moi ce matin-là dans son émission, comme il fait à propos de tout le monde chaque matin, et je crois que ça m'a vraiment blessée. Normallement, je le supporte assez bien, mais ce jour-là précisément il avait dit que je paraissait grosse. J'avais pris quelques kilos, et alors quoi, ce n'était pas la fin du monde, peut-être qu'il avait raison et qu'il était temps que je perde quelques kilos, mais j'étais à bout et j'ai craqué.  Ensuite, tout le monde en a fait trop, hors proportion.

Q17
Playboy: On a fait un grand plat des messages que tu avais enregistré pour ton site officiel et une visite à TRL où tu as distribué des sucettes et où tu as fait un bref striptease.
Carey: J'ai trouvé cela étrange que la presse parle de TRL et de choses s'adressant à des gosses de 14 ans. Allons, je suis allée tant de fois à TRL auparavant, faisant des batailles de nourriture et d'autres choses stupides depuis tant d'années.  C'est de cela qu'il sagit, ce n'est pas à prendre au sérieux, ce n'est pas une émission de Barbara Walters, ce n'est pas Marry King ou Charlie Rose. Ca m'a surprise que les choses aient été gonflées hors proportion, parce que franchement il n'y avait rien d'autre à dire.  Et puis mon film Glitter a été un bide, mais personne n'a jamais mentionné que c'était sorti aux environs du 11 septembre 2001.

Q18
Playboy: Quand as-tu regardé Glitter pour la dernière fois?
Carey: J'essaie de ne pas regarder, j'essaie de l'éviter. En fait, ça ne me dérange pas, il y a des moments qui me font rire et je m'en fiche.  J'ai eu la chance de faire Wisegirls avec Mira Sorvino juste après ça. Beaucoup de gens ne l'ont pas vu mais le film a reçu une standing ovation (une ovation de gens debout dans la salle) au Sundance et a eu de très bonnes critiques. C'était une extraordinaire expérience pour moi, parce que j'ai pu jouer un personnage.  J'ai fait beaucoup d'improvisation et travaillé avec une actrice qui a gagné un Oscar.

Q19
Playboy: Tu as acheté le piano que Marilyn Monroe avait dans son enfance pour plus de 600.000 dollars.  Pourquoi le voulais-tu?
Carey: J'ai du me battre pour l'avoir.  C'était très cool, je n'avais jamais participé à une vente aux enchères auparavant.  Mon décorateur, mondialement célèbre, était au téléphone me demandant jusqu'à quel prix je voulais aller et je n'arrêtais pas de lui dire "Je dois avoir ce piano!".  Ce piano est un objet symbolique, dans l'autobiographie de Marilyn, il y a un chapitre intitulé "Comment j'ai sauvé un piano blanc". C'était la seule chose qu'elle avait de son enfance.  Je sais que c'était cher, mais c'était important pour moi.  C'est écrit dans mon testament que si il devait m'arriver quelque chose, le piano aille à un musée où il aurait dû aller en premier lieu.

Q20
Playboy: Cette année tu vas avoir ton étoile ajoutée au Walk Of Fame d'Hollywood.  Si tu pouvais réaranger les étoiles, près desquelles voudrais-tu que la tienne se trouve?
Carey: Tu veux dire que je ne peux pas les déplacer dans tous les sens? Allons! Je vais demander un nouveau mélange et puis nous en reparlerons.

Source pour l'article en anglais: Playboy - MariahJournal
Traduction: Heroes of Mariah
Heroes note: Allez chez MariahJournal pour des super scans du magazine 
Posté le 6 février